2.3.08

Da saudação de Rodrigo Emílio a Léon Degrelle

Quis e bem o Engenheiro lembrar o dia do 64.º aniversário de nascimento do Rodrigo Emílio com uma carta que este teria escrito a Léon Degrelle.
O que o Rodrigo escreveu foi um texto que leu cara a cara, de olhos nos olhos a Degrelle no dia do seu 82.º aniversário, dia 16 de Junho de 1988, na casa madrilena do comandante da Divisão SS Wallonie e dessa visita de honra fez uma crónica e reportagem intitulada "Léon Degrelle ou o soldado conhecido".
Mon général:
Je tiens à vous dire qu`il fait beau de vous connaître en propre personne. En faisant votre connaissance, j`accomplis le tout premier rêve de ma vie. C`est à dire que j`atteins maintenant le sommet le plus haut de mon existence. Vous voir, vous regarder, vous parler, vous entendre, le fait de vous pouvoir surtout serrer les mains - vos mains de guerrier et vos mains d`artiste et d`écrivain, tout aussi vaillantes, d`ailleurs, et tout aussi heröiques que celles du combattant -, tout ça tient pour moi du mythe même; et ce qui plus est: du mythe vécu.
Je ne peux pas m`empêcher non plus d`éprouver une sorte de frisson historique tout en me souvenant que vos mains - que je viens d`avoir l`honneur de serrer - ont été serrées par celles du Führer, juste vingt-quatre heures avant que je suis né. Votre dernier rendez-vous avec Hitler a eu lieu le 17 Février 1944, n`est-ce pas?
Eh bien. Je suis né le 18 Février 1944.
Cela revient à dire que je suis donc entré dans la vie, juste à l`heure, juste au moment òu on voudrait mieux d`en sortir. Déjà il commençait à être trop tard, sans doute, pour arriver dans ce monde...
En español, le quiero agradecer enfin el sencillo hecho de haber nacido, mi general.
Rodrigo Emílio

Último Reduto, n.º 12, Setembro de 1994 (ano XI), pág. 12.

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